Un florilège de spectacles
Marie de France (un divertissement médiéval)
Foire médiévale de Souvigny, 1999
En compagnie de Marie de France, écrivain et poète du XIIIème siècle, une fraîche balade au cœur du Moyen Age grâce à des textes comiques et dramatiques d’auteurs médiévaux.
Marie-Amance Schwartz (Marie de France et Tiercelin), Bertrand Gontard (Le Chapelain et le Seigneur), Thérèse Cherrier (Renart le Goupil et l’épouse du Seigneur), PHS (Moniot d’Arras)
Jehanne de France (d’après les minutes du procès de Jeanne d’Arc)
Festival estival en Bourbonnais,
juillet 2000
A partir des propres paroles de la Pucelle d’Orléans, la rencontre de la jeune héroïne avec le futur roi, Charles VII, et son départ à la guerre contre les Anglais.
Marie-Amance Schwartz (Jehanne la Pucelle), PHS (Jacques Cœur), Chantal Schwartz (Isabeau de Bavière), Aurore Savinien (Catherine d’Alexandrie), Nathalie Hofer (Marguerite d’Antioche et Charles de Ponthieu, le futur Charles VII), Henry Bel (Régnault de Chartres), Bertrand Gontard (La Hire), Thérèse Cherrier (Christine de Pisan), Guillaume François (Gilles de Rais).

Jehanne avec (à gauche) Marguerite d’Antioche (Nathalie Hofer) et Catherine d’Alexandrie (Aurore Savinien)
Avec la participation vocale de Christine Soulier
LES Nuits d’Aurore (sur George Sand)
Festival estival en Bourbonnais, juillet 2001
Le futur grand écrivain régionaliste, jeune encore, se prépare à affronter son destin, malgré toutes les embûches, et à assumer son rôle de femme de plume.
Marie-Amance Schwartz (Aurore), Thérèse Cherrier (Marie-Aurore), Chantal Schwartz (George Sand), PHS (Deschartres), Henry Bel (Buloz, éditeur), Aurore Savinien (Marie Dorval), Guillaume François (Chopin)
Avec violon et flûte
Camille Claudel ou les tourments de l’absence
Paris, Maison de l’Auvergne, et Château du Riau,
Villeneuve-sur-Allier, printemps 2002
L’élève de Rodin, qui dépasse le maître, s’amourache de ce dernier au point de perdre pied et de sombrer petit à petit dans la folie.
Marie-Amance Schwartz (Camille Claudel), James-Ivan Schwartz (Paul Claudel), PHS (Rodin), Mario Batista (Claude Debussy), Virginie Desgrées (Rose Beuret), Henry Bel (Mathias Morhardt, journaliste)
Avec la participation vocale de Béatrice de Vigan
Coco Chanel – Franges de vie (la jeunesse de Gabrielle Chanel à Moulins)
Festival estival en Bourbonnais, juillet 2002
La jeune Gabrielle Chanel quitte sa pension de jeunes filles à Moulins et se lance dans la mode et… la chanson (ce qui lui vaut son surnom de Coco… et les regards ébahis de son futur grand amour, Boy Capelle).
Marie-Amance Schwartz (Gabrielle Chanel), Eglantine Guitard (Adrienne Chanel, PHS (le père Chanel), Chantal Schwartz (une cliente du marché), Jean-Marc Maurice (Marcellin Desboutins), Thérèse Cherrier (Sœur Marie-Lucie), James-Ivan Schwartz (Boy Capelle), x (Etienne Balsan), Eve Lori (la diseuse de bonne aventure), Henry Bel (patron de la Rotonde)
Avec la participation vocale de Béatrice de Vigan
Rilke et Lou – autopsy d’un amour fou (Sur Lou Salomé et René Marie Rilke)
Festival estival en Bourbonnais, juillet 2003
Lou Andréas Salomé, la future psychanalyste, et René Marie Rilke, le grand poète allemand, vivent une histoire d’amour vouée à l’échec, tandis que Nietzsche et Freud tentent de la séduire.
Marie-Amance Schwartz (Lou Andréas Salomé), Henry Bel (Révérend Hendrik Gillot), Eglantine Guitard (Elisabeth Nietzsche), Sabine Tourtellier (Malwida von Meysenburg), Ian Fénelon (Friedrich Nietzsche), Jean-Marc Maurice (Sigmund Freud), PHS (Carl Friedrich Andréas), Gilles (René Marie Rilke)
Avec Inta au violoncelle
Pendant le « Festival estival » en Bourbonnais, qui se déroulait toujours au mois de juillet, la troupe de Philippe Schwartz partait en tournée dans les châteaux et hauts lieux historiques du Bourbonnais. La compagnie s’installait au cœur des demeures et invitait son public à découvrir des pièces originales dans des décors architecturaux hors du commun.
Au cours des quatre saisons, de 1999 à 2003, les spectateurs ont été invités dans des endroits prestigieux, tels que le musée Anne de Beaujeu, à Moulins, le cloître de la basilique de Souvigny, le château de Thoury, à Saint-Pourçain-sur-Besbre, le château du Riau à Villeneuve-sur-Allier, le château de Bellevue, à Meaulnes, le château du Vieux Meslais à Coulandon, le château de Bellenaves, le château de Paray-le-Frésil, le château de Bourbon-l’Archambault, le château de Paray à Besson, le château de Busset à Busset, le château de Billy, le château de Chareil-Cintrat, le château de Panloup à Yzeure et tant d’autres.
Marie la Juive, alchimiste
(pièce destinée au théâtre « Le Piccolo » au cœur des Puces de Saint-Ouen (93)
La célèbre alchimiste, connue surtout pour l’invention du bain-marie, est menacée par les autorités romaines qui se livrent à une chasse aux sorcières. Ne lui reste plus que la fuite.
(Mise en) Scène de crime
Théâtre « les Caves Saint-Jean » (Paris XIème), automne 2009
Qui n’a jamais rêver de commettre un meurtre parfait ? Les trois personnages de la pièce vont relever le défi. Mais aucun d’entre eux n’est exactement ce qu’il paraît, et le crime n’est peut-être pas aussi théâtral qu’on pourrait le croire.
Jeux de scènes
« Théâtre gourmet », la Rotonde, Vichy, février 2011
Comment devenir une vedette et mériter de partir en tournée ? Les deux personnages de la pièce tentent de convaincre un célèbre impresario de leur donner leur chance. Mais derrière les saynètes qu’ils lui proposent se cache peut-être
Geneviève Thain (Anastasia), PHS (Alexis), Isabelle Réchard (l’impresario, Léa Refait)
Avec David Alzas au piano.
A Fonds perdus
Théâtre Montmartre-Galabru (Paris XVIIIème), mai/juin 2011
Un transporteur de fonds braque son propre camion et se fait pincer… Il
rend une partie du butin. Une fois sa peine de prison purgée, que fera-t-il du reste ? Son meilleur ami veut l’aider à résoudre le dilemme.
James-Ivan-Schwartz (Ivan),
Juliette Delacroix (l’avocate, Maître Flibustier), PHS (le geôlier), Clémence de Vimal (Hélène), Cyril Necker (Marco), Pauline Ferrara (Marie) et Xavier Bazoge (Djamel).
Avec Benoît Gil à la guitare
En Quête (la jeunesse d’Albert Londres)
Palais des Congrès, Salle Eugénie, juin 2012
Le jeune journaliste, au seuil de sa carrière, vante les mérites de sa ville natale et énonce les grands principes qui l’animeront plus tard.
Clémence de Vimal (Constance de Saint-Chartier), Xavier Bazoge (Albert Londres)
Avec Laurent Conti au violon
Détective
L’agence Pourquoi sans Privé vous ouvre ses portes et vous invite à pénétrer dans les locaux d’un enquêteur privé et de participer à une enquête menée tambour battant.
Aider une orpheline, Sarah de Saint-Sulpice, à retrouver son père biologique, voilà la délicate tâche que le détective chevronné Phil Windsor, surnommé Win, s’apprête à entreprendre sous vos yeux. Pour y parvenir, au fil des scènes, il croisera de nombreux personnages hauts en couleurs : son amie, Arlette Van der Valk, la commissaire de police, et accessoirement chef de chœur, qui lui a envoyé Sarah, sa soliste préférée,comme cliente ; Charles de Saint-Sulpice, le père adoptif de Sarah, réfractaire à toute question; un agent des services de l’Etat civil ; Vickie Havers, une journaliste dure à cuire ; un maître chanteur plutôt pittoresque ; sans oublier le fidèle assistant de Win, le jeune apprenti détective, Dave Dickson !
N’hésitez pas à jouer les fins limiers afin de découvrir avant tout le monde la clé de l’énigme !
En savoir plus sur la distribution
Détective (Une recherche de paternité sur fond de scandale financier)
Salle de la Vivert, Toulon-sur-Allier, avril 2013
Une pièce légère sur un sujet grave, mais comme le dit Win lui-même : « On peut plaisanter et être sérieux, ou parler sérieusement en plaisantant ! » Alors, à vos loupes, prêts, partez !
Distribution (par ordre d’apparition sur scène)
La voix off : Bernard Derudder, Chorale Col Canto
Sarah de Saint-Sulpice : Geneviève Thain
Arlette van der Valk, commissaire de police : Cécile Derudder
(De gauche à droite, au premier rang): Alain Chardon, Cécile Derudder, Monique Fy, Henry Bel, Laurent Conti. (A l’arrière): Jean-Maxence Chagnon, Philippe Schwartz, Geneviève Thain).
Le violoniste : Laurent Conti
Dave Dickson, l’apprenti détective : Jean-Maxence Chagnon
Phil Windsor, dit Win : Philippe Schwartz
Le fonctionnaire de l’Etat civil : Alain Chardon
Charles de Saint-Sulpice : Henry Bel
Vickie Havers, la journaliste : Monique Fy
Le maître chanteur : P. MacNeil
Lumières : Gérard Fayet, Scène et Studio, 47 avenue Paul-Doumer, 03200 Vichy
Costumes et bijoux : Geneviève Thain, 92 rue Jean Jaurès, 03200 Vichy
« Le Zapping des Intérimères » au Geyser, juin 2014
Louvoyant entre le loufoque, le comique et le sérieux, la pièce met en scène une agence d’intérim et sa directrice « ne recevant que des femmes, ne proposant des emplois exclusivement qu’à des femmes, à des postes clefs dans les entreprises où les hommes sont rois ». Mais quels sont les objectifs réels de ce bureau très original ? La parité est-elle son seul défi? N’ y a-t-il pas un motif caché moins avouable ? C’est ce qu’essaie de découvrir une inspectrice de la brigade des fraudes, enquêtant sur une série d’escroqueries dans des entreprises de renom.
Parallèlement aux agissements de l’agence, un mini-journal télévisé, animé uniquement par des enfants, aide les spectateurs à suivre l’intrigue de la pièce, grâce à une succession de reportages, miroirs fidèles en miniature de ce qui se déroule chez les « grandes ».
Le public zappe ainsi de scène en scène, de reportage en rendez-vous, et apprend à mieux connaître toutes ses intérimères, chercheuses d’emplois hautes en couleurs.
Un spectacle pour rire et pour réfléchir, avec une dizaine de comédiens âgés de… 9 à 64 ans !
Vendredi 27 juin, 20 h 30 au Geyser de Bellerive-sur-Allier
L’atelier théâtre de Vichy Musique Avenue
entre en scène avec « Le Zapping des IntériMères »
L’atelier théâtre (voir l’atelier) de Vichy Musique Avenue (VMA), à pied d’œuvre depuis octobre 2013, a présenté sa toute première pièce au Geyser (Bellerive-sur-Allier), vendredi 27 juin 2014 à 20 h 30.
Âgés de 8 à 64 ans, les apprentis comédiens ont proposé une œuvre originale et inédite, « le Zapping des Intérimères », une pièce écrite sur mesure pour eux par Philippe Schwartz, qui anime l’atelier.
Le spectacle, louvoyant entre le loufoque et le sérieux, a permis à chacun d’eux d’incarner à tour de rôle, dans le cadre d’une agence d’intérim résolument féministe, des chercheuses d’emploi hautes en couleurs, à l’affût du travail idéal.
Dans chacun des 13 tableaux, le rire n’a jamais été loin, toujours prêt à surgir au moment le plus désopilant. Car les intéri-mères, mères de famille, mères au foyer, mères sans être amères, ont joué leur va-tout pour convaincre la directrice d’agence de les embaucher, ce qui donne lieu à des situations des plus coquasses.
Mais, une enquête policière musclée, menée tambour battant, vient jeter le trouble dans l’agence. Et pendant ce temps, en filigrane, un journal télévisé piloté par des enfants souligne l’intrigue en l’illustrant par des reportages, miroirs fidèles en miniature de ce qui se déroule chez les plus grands.
La pièce qu’a présentée l’atelier théâtre de VMA sort des sentiers battus, de par son originalité et surtout grâce à l’enthousiasme collectif de tous ceux et celles qui ont planché sur le texte pendant de nombreux mois.
- La tableau XII, au Geyser, vendredi 27 juin 2014. De gauche à droite, en pleine action: Karine Minet, Geneviève Thain, Marie Grandjean, Muriel Deiola, Alicia Cintas et Natacha Kassapoglou.
Personnages par ordre d’entrée en scène :
Matthias * (présentateur du JT) : Matthias Minet
Leonora * (directrice d’agence et bijoutière): Leonora Wojcik
Laurine * (chercheuse d’emploi et mannequin): Laurine Bardot
Marie-Amélie * (Styliste et journaliste): Marie-Amélie Bonnetin.
Karine (directrice de l’agence d’intérim): Karine Minet
Philippe (reporter) : Philippe Schwartz
Muriel (policière municipale): Muriel Deiola
Alicia (Styliste): Alicia Cintras
Geneviève (Inspectrice à la brigade des fraudes): Geneviève Thain
Marie (Chanteuse): Marie Grandjean
Natacha: (Comptable) Natacha Kassapoglou
* Matthias, Leonora, Laurine et Marie-Amélie appartiennent au petit atelier et ont entre huit et quatorze ans)
- (de gauche à droite et de bas en haut) Marie-Amélie Bonnetin, Laurine Bardot, Matthias Minet, Muriel Deiola, Geneviève Thain, Natacha Kassapoglou, Leonora Wojcik (au centre), Alicia Cintas, Karine Minet, Philippe Schwartz.
Le Parti Théâtral
Les apprentis comédiens de VMA
font une scène au gouvernement
Vendredi 26 juin 2015 à 20 h 30, l’école vichyssoise (voir l’atelier) « Vichy Musique Avenue » (VMA) est remontée sur les planches du Geyser de Bellerive-sur-Allier avec une nouvelle pièce de Philippe Schwartz, « Le Parti Théâtral ».
Ce sont plus précisément l’atelier théâtre de VMA et ses dix-huit apprentis comédiens (dont le plus jeune a huit ans) qui ont incarné les personnages de cette nouvelle création originale, écrite sur-mesure pour les participants.
« Le Parti théâtral » met en scène une jeune troupe, créée de toutes pièces, se spécialisant dans les parodies des hommes qui nous gouvernent. S’inspirant largement, dans ses sketches, tableaux et saynètes, du monde politique et de ses répercussions sur notre vie de tous les jours, la jeune compagnie fictive, se fait appeler… « le Parti théâtral ». Elle connaît le succès, grâce à ses satires outrancières mettant en scène un Premier mini-ministre, un ministre de l’Inférieur, un ministre des sous, un ministre de l’Inculture et de nombreux autres personnages extravagants.
Chemin faisant, elle s’attire les foudres du gouvernement (factice, bien sûr), furieux de se voir tourner en ridicule sur scène et sur les réseaux sociaux.
Naturellement, malgré les apparences, ce ne sont pas des personnages réels et existants qui ont été brocardés par « le Parti théâtral », sur les planches du Geyser, au cours de la soirée. « Il s’agit plutôt d’une caricature de personnages officiels, une déformation de faits réels, et non des portraits ressemblants. Loin de nous l’idée d’être réalistes… Là, ce ne serait pas drôle du tout… », explique sur scène l’une des responsables de la compagnie imaginaire.
C’est en jouant sur ce thème, riche s’il en est, d’une compagnie fictive, ironique et facétieuse, que l’atelier théâtre de VMA, fort de sa première expérience en 2014, au Geyser, avec « Le Zapping des Intérimères » a tenté de distraire encore une fois le public du bassin vichyssois, tout en lui proposant bon nombre de sujets de réflexion sur les travers de notre société.
Une comédie qu’on aurait tort de prendre au sérieux, mais dont le sérieux ne fait de tort à personne
Découvrez le « Home Théâtre »
Tout le monde connaît le home cinéma. Philippe Schwartz propose de découvrir, dès le mois de juin prochain, le « Home théâtre ».
Comme il le dit lui-même dans sa nouvelle pièce éponyme : « Puisque les salles de spectacle jouent les mijaurées et que les planches ne craquent plus pour nous, nous avons opté pour le porte à porte. »
En effet, en juin et juillet 2016, la petite compagnie (composée de Geneviève Thain, Natacha Kassapoglou et de l’auteur lui-même, accompagnés par le violoniste Laurent Conti) ira sonner à la porte (et se produire directement dans le salon) des hôtes qui voudront bien les recevoir, devant un public (restreint) que les maîtres de maison pourront choisir à leur guise.
Geneviève précise bien elle-même, dans la pièce « Home théâtre », ce à quoi ces invités pourront s’attendre: « Quelques saynètes en live, un peu de chants sans micros ni trucages, un petit éclairage d’ambiance »… Et la nouvelle pièce ne manquera pas de surprendre, une fois de plus, par son originalité et les thèmes tout à fait d’actualité parodiés par les acteurs.
Une nouvelle façon plus intimiste d’envisager le théâtre. Une manière plus directe de toucher le public. Le « Home théâtre », c’est du spectacle en prise directe!
Le Home-théâtre a plié ses gaules pour la dernière fois le 9 juillet 2016.
Après avoir dressé six fois, non pas son chapiteau comme les cirques itinérants, mais plutôt les pieds télescopiques de ses projecteurs, tendu ses câbles, effectué ses branchements à la console lumière, il a animé pour l’ultime fois les visages des spectateurs en même temps que les lieux, établissant un contact que bon nombre des invités d’un soir n’avaient jamais imaginé percevoir auparavant.
Quand le jeu commence, que les lumières baissent ou montent, tous, sur scène ou assis dans les fauteuils du salon, se sentent happés, interpellés personnellement, par les mots, les phrases, les images. Parfois, au coin d’une saynète, dans les recoins d’un dialogue, ils sont phagocytés par le spectacle, perdant parfois toute notion du temps…
Oui, le Home Théâtre à plié ses gaules. Six représentations plus tard, au moment où les comédiens se remettent petit à petit de la sensation d’un immense vide, le spectacle s’est replié sur lui même, a disparu, pour se réfugier au pays où l’imaginaire règne en maître, terre d’asile des poètes de tout horizon.